C’est le numéro de la plaque de la voiture des deux voleurs qui m’ont détroussé dimanche après-midi, boulevard du 30 juin, près du marché d’artisanat où je me rendais, en plein centre-ville de Kinshasa.
Les demoiselles de la réception de l’hôtel Venus, aucunement étonnées de ma mésaventure, m’expliquent gentiment qu’un appel aux forces policières est une perte de temps. «S’ils avaient tiré des coups de feu, là peut-être que oui, mais pour un simple vol…».
Eh bien non, pas d’armes, pas de ...
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